Conférences

Coordinateur & commissaire : Sina Abedi

Life Within Walls

Avec Hamed Khosravi À l’ENSA - Paris Malaquais

Learning from Ispahan

Avec Marc Barani, Patrick Berger, Bita Azimi, Francis Rambert, Réza Azard, Jean-Patrice Calori, Alessandro Mosca, David Trottin À la Cité de l’architecture & du patrimoine

Le sens de l'unité de l'architecture persane

Avec Nader Ardalan À l’ENSA - Paris Malaquais

L’Ispahan de Pierre Hermé

Avec Dominique Rouillard & Pierre Hermé À l’ENSA - Paris Malaquais

Villes vues par les voyageurs et les orientalistes

Avec Francis Richard & Leili Anvar à l'INALCO

Domestic Architecture, Governance and Conflict in Iran

Avec Samaneh Moafi à l’ENSA - Paris Malaquais

Amours persanes

Avec Leili Anvar & Diane de Selliers à la Galerie Bourbon

La céramique architecturale en Iran

Avec Sandra Aube à l'Amphithéâtre Richelieu à la Sorbonne

La ville comme personnage romanesque

Avec Paul Andreu

Ispahan & ses jardins

Avec Mahvash Alemi à l’ENSA - Paris Malaquais

Le portrait dans la peinture persane

Avec Sussan Babaie à l’Institut national d’histoire de l’art (INHA)

En mémoire de Houshang Seyhoun

Avec Nasrine Seraji, Frédéric Borel, Hossein Amanat, Iraj Yamin Esfandiary à l’ENSA - Paris Malaquais

Conférences en ligne

Coordinateur & commissaire : Sina Abedi

Marc Barani

Bita Azimi

Richard Scoffier

Farrokh Derakhshani

Université d'été

Université inernationale d'été d'Architecture

Fondateur & Directeur : Sina Abedi

Encadrement : Sina Abedi, Richard Scoffier, Patrick Berger, Francis Rambert, Jean-François Coulais, Bérénice Gaussuin, Camille Scoffier, Maria Theodorou, Rafael A. Balboa

L’eau ne coule plus à Ispahan. Le Zayandeh Rud qui traverse la ville est aujourd’hui pratiquement à sec, son cours ayant été détourné dans les années 2000 pour irriguer des terres cultivables en amont de la ville. Seul un filet d’eau traverse encore, l’hiver, les arches du pont Allahverdi Khan.

LA VILLE QUI A PERDUE SON FLEUVE

Que faire ? Revenir en arrière ? Envisager d’autres stratégies ? Transformer le lit du fleuve en coulée verte parsemée çà et là de miroirs d’eau et y implanter de grands programmes culturels comme ont su le faire les urbanistes de Valence après le détournement de l’impétueux Turia par le Général Franco à la suite de la grande inondation meurtrière de 1957. Etudier les exemples d’autres villes : Nantes et son cours des 50 Otages aménagé sur l’ancien lit de l’Erdre entre 1930 et 1940 ou Sao Paulo dont les ponts métalliques du XIXe siècles surplombent désormais des flux d’automobiles et de camions.

Expositions

Fenêtres sur l’architecture contemporaine d’Ispahan

Coordinateur & commissaire : Sina Abedi

Avec Ehsan Hosseini & Elham Geramizadeh 

ENSA-Paris Malaquais

Après 40 ans de confusion, l’architecture contemporaine d’Iran se réinvente en s’inspirant de l’identité pré-révolutionnaire. Ispahan, ville à l’architecture unique, inspire de nouveaux projets. L’exposition présentée reflète le travail de jeunes architectes iraniens, qui mêlent leur sensibilité au contexte urbain d’Ispahan, formant potentiellement la nouvelle école architecturale.

La Nouvelle Djolfa

Coordinateur & commissaire : Sina Abedi

Hôtel de ville d’Issy-les-Moulineaux

Le quartier de la nouvelle Djolfa à Ispahan abrite depuis 400 ans les Arméniens exilés qui y ont développé leur propre société. Ernst Hoeltzer, un ingénieur, s’y installe en 1863 et réalise des milliers de photographies du quartier, documentant la vie quotidienne de la communauté arménienne du XIXe siècle. Ses notes et images offrent un témoignage précieux de cette époque.

Les réfugiés polonais pendant la seconde guerre mondiale

Coordinateur & commissaire : Sina Abedi

Sciences Po Paris

Suite à la défaite de la Pologne en 1939, des centaines de milliers de Polonais sont déportés en URSS. En 1941, après l’invasion allemande de l’Union Soviétique, 80 000 soldats et 40 000 civils polonais sont libérés et arrivent en Iran. Des quartiers et centres polonais sont établis dans différentes villes, dont Ispahan, où 2000 enfants polonais y vivent entre 1942 et 1945. Après avoir subi la déportation, ces enfants retrouvent progressivement une enfance normale en Iran.